17 septembre 2011
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11:00
Ce magnifique crapaud se précipitait de l'ombre de nos chênes à l'humidité accueillante de nos hydrangeas quand nous nous sommes croisés.
Il s'est d'abord fait menaçant, en se dressant sur ses pattes avant.
Puis, voyant que je ne fuyais pas , s'est plaqué au sol, immobile, se faisant le plus discret possible jusqu'à ce que je m'en aille.
Puis, dès que j'ai eu le dos tourné, il a repris sa course vers l'ombre et la fraicheur salvatrices...